L'Innovation et l'Humain au coeur de la Transformation Digitale

L'Innovation et l'Humain au coeur  de la Transformation Digitale

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Osez ! L'humain au coeur de la transformation Digitale

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Comme trop souvent, lors de changement d'orientation ou d'organisation au sein de l'entreprise "on" compte surtout sur les managers intermédiaires pour faire le job.

 

J'ai eu l'occasion de lire un extrait d'une étude de  Early Strategies qui met bien en lumière la façon dont les managers intermédiaires perçoivent la transformation numérique en cours dans leurs organisations. 

 

Cette étude de 2016 repose sur un questionnaire en ligne de 36 questions auxquels des managers intermédiaires et de direction, travaillant dans des organisations de plus de 2000 personnes, ont répondu .

 

Il consistait en 4 séries de questions :

  • les outils digitaux et média sociaux utilisés et le degré de maîtrise des participants (3 questions) 
  • les défis associés à la transformation digitale auxquels font face les manager intermédiaires (9 questions)
  • leurs vues sur la manière dont les entreprises se transforment, et les problématiques liées (12 questions)
  • leur état d’esprit général (6 questions)

Par ailleurs, une quinzaine d’entretiens ont été conduits avec des experts et personnes en charge de la transformation digitale dans les grandes entreprises. Dans le document qui analyse en détail les réponses, vous trouverez le constat de la réalité du terrain et parfois la confirmation de ce que « tout le monde » pense à propos de cette transformation.

 

Mais ce qui ajoute, en termes de pertinence et de valeur,  c’est probablement le développement de deux ‘signaux faibles’:

 

  • l’existence d’une fracture numérique, qui se situe entre le management intermédiaire et le comité exécutif
  • La transformation digitale se fait parfois au détriment de l’humanité dans les organisations

 

Fracture numérique possible entre le management intermédiaire et le comité exécutif

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Cette faille potentielle est révélée par certaines réponses et commentaires tout a long du questionnaire :

 

  • Quand on parle de transformation digitale, 84% des participants considèrent que leur travail n’est pas reconnu (Q8)
  • Il y a une transition abrupte du management traditionnel vers le leadership, mais le management exécutif ne donne pas de directives claires (Q9)
  • On attend des managers intermédiaires qu’ils répondent à toute question relative aux communications du management exécutif, mais ils ne sont pas « briefés » au préalable (Q9)
  • Les participants nous font part d’un nombre croissant de demandes de données chiffrées par leur management exécutif, qui considère que ces tâches de reporting sont « faciles », alors qu’ils en sont submergés (Q9). C’est d’autant plus contre productif que cela ne donne aucune information fiable sur la manière dont l’entreprise fonctionne, parce que l’information est limitée à des « résultats chiffrés » ou encore des « données passives » (Q14)
  • Le management exécutif refuse d’accepter le changement culture lié à la transformation numérique (Q12)
  • Lorsque la transformation numérique se passe mal, c'est le management exécutif qui est cité comme source du problème (Q12)
  • Des parties de l’organisation se préparent à de nouveaux modèles de business ; mais l’organisation globale probablement moins bien, car il y a de la complaisance (Q29)

La transformation numérique se fait parfois au détriment de l’humanité dans les organisations

C’est un effet secondaire possible de la transformation numérique : 18 participants différents ont spontanément commentés ce sujet dans leurs réponses.

 

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En conclusion

Si la transformation digital n'est pas vue dans son ensemble, comme un changement de culture de l'entreprise, impliquant l'ensemble des personnels et en remettant l'humain au centre, ce sera un échec assuré. Comme le montre la question Q9, si on ne fait pas attention, le risque de perdre l’interaction humaine est bien réel. La maîtrise des outils fait passer l’interaction humaine au second plan, la motivation des équipes sera impactée négativement par cette transformation numérique.

Lorsqu’on leur demande quelles compétences les managers intermédiaires devraient développer pour le futur, 71% des participants citent des compétences en rapport avec l’humain (Q11), ce qui est un signe possible qu’ils suspectent un manque dans ce domaine.

 

Au lieu d'apporter de l'agilité, un rapprochement de ses clients pour mieux les comprendre et répondre à leur demande, on risque d'obtenir l'inverse en devenant encore plus bureaucratique !

 

N'hésitez pas à demander l'avis de tous les salariés, les faire participer, collaborer. En un mot Osez !

 


13/02/2017
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Transformation digitale : ce qu’en disent les patrons

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« Une entreprise qui n’a pas de stratégie digitale ou qui n’a pas appréhendé cette dynamique de transformation globale est vouée à disparaître »
juge Laurent Fiard, co-président du groupe Visiativ, société à l’origine du congrès Entreprise du Futur. - Shutterstock

 

Tendance Plus de 3.000 dirigeants ont répondu présents au congrès Entreprise du Futur qui se tenait à Lyon le 19 janvier dernier. L’occasion de les interroger sur leur vision de la transformation digitale.

 

Un point fait consensus : l’entreprise ne peut se transformer que si l’impulsion vient du plus haut niveau. « Pour que l’entreprise parvienne à se réinventer, le dirigeant doit être à la manœuvre », dit Laurent Fiard, co-président du groupe Visiativ, société à l’origine du congrès Entreprise du Futur (dont « Les Échos » sont co-organisateurs).

 

Autre élément de convergence, c’est une conviction commune qui incite les directions générales à engager leur entreprise sur le chemin du changement : la certitude que ce n’est plus un choix. « Une entreprise qui n’a pas de stratégie digitale ou qui n’a pas appréhendé cette dynamique de transformation globale est vouée à disparaître », estime Laurent Fiard.

 

Enfin, les dirigeants font également chorus pour dire que la révolution numérique qui est en marche induit le plus souvent un changement de business model. « Par le passé, le métier d’éditeur de logiciels consistait à vendre des licences. Puis c’est devenu de la location en mode Saas. A l’avenir, nous serons de plus en plus des intermédiaires, des experts de la mise en relation, explique Pascal Daloz, directeur général adjoint de Dassault Systèmes. Nous travaillons donc déjà à l’élaboration de nouveaux modèles d’intermédiation ».

 

Sur la manière de procéder, en termes de gouvernance et d’organisation, pour parvenir à opérer sa métamorphose, chacun adopte une stratégie différente. Chez JCDecaux, on n’a nommé ni directeur de l’innovation, ni directeur de la transformation. « Nous considérons que l’innovation et la transformation doivent être présentes partout, à tous les niveaux de l’entreprise, et qu’elles ne doivent pas reposer sur une seule personne », indique Albert Asséraf, directeur général Stratégie, Études et Marketing de JCDecaux.

 

Même volonté d’impliquer l’ensemble des équipes au sein de groupe Hervé, entreprise familiale qui compte 2.800 salariés, chacun d’eux étant considéré comme un intrapreneur. « Nous nous appuyons sur un management décisionnel concertatif qui accompagne l’envie d’entreprendre de nos 2.800 intrapreneurs », insiste Emmanuel Hervé, président du directoire et fils du fondateur. Pour mettre en œuvre cette stratégie « du bas vers le haut », l’entreprise mise notamment sur des réunions mensuelles où tous les collaborateurs sont invités à faire part de leur remarques techniques, business, stratégiques, comptables, personnelles, etc. « Le numérique, qui a toujours constitué chez nous le premier poste d’investissements, est perçu comme un moyen supplémentaire de responsabiliser nos intrapreneurs dans la mesure où les nouvelles technologies facilitent la diffusion des données : de notre point de vue, l’accès à l’information est un vecteur d’autonomie et il aide à la prise de décision », poursuit Emmanuel Hervé.

 

« Les organisations peuvent se donner le temps de gagner progressivement en maturité, la transformation de rupture n’est pas préconisée. En revanche, il faut y aller ! », conclut Jean-Loup Rogé, président du Groupe Segeco, un cabinet de conseil qui aide des entreprises de tous secteurs à relever le défi du digital. 

 

Source


01/02/2017
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Étableur : le cheval de Troie de la digitalisation #Digital #TransFoNum

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Pour favoriser l’intégration de la culture digitale, des entreprises pilotes ont décidé de s’appuyer sur des étableurs. Ce nouveau métier vise à faire converger les besoins en formation des collaborateurs et l’apport de salariés connectés qui transmettent leurs compétences personnelles.

 

Une triple fonction de formateur, animateur et innovateur
Collaborateur doté d’une importante maîtrise de la culture digitale, l’étableur met volontairement ses compétences à la disposition de ses collègues quelques heures par semaine. Sa mission : transmettre des outils, mais également et surtout un état d’esprit 2.0.


Un champ d’action étendu
Un étableur consacre en moyenne 3 h par semaine à son activité. Il anime des ateliers (exemple : faire un tableau croisé dynamique sur Excel), tient des permanences d’accompagnement, teste des innovations et peut même faire évoluer les processus métiers (exemple : mise en place de « serious games » pour le recrutement).

Un panel d’action extrêmement large donc, qui s’étend de l’appropriation d’un logiciel à la mise en place d’outils collaboratifs digitaux. L’étableur doit également pouvoir bénéficier de formations continues pour maîtriser les différents logiciels de l'entreprise et se tenir au courant des innovations les plus récentes.


Un impact sur la productivité des collaborateurs et la culture d’entreprise
L’action de l’étableur favorise :

  • une efficacité accrue dans l’utilisation des outils digitaux,
  • le développement d’une culture collaborative,
  • l’accélération de la transformation digitale.

Dans l’entreprise, il fait progresser concrètement et au quotidien la transformation digitale, en complément du travail de fond mené par les DSI, DRH et le CDO. De son côté, l’étableur, gagne en visibilité, monte en compétence et renforce son réseau au sein de l’entreprise.


Un essai transformé pour Orange
Orange expérimente le métier d’étableur depuis 2 ans. Sur un site de 300 personnes, 15 salariés se transforment en coachs digitaux une demi-journée par semaine. L’initiative connaît un franc succès. Le Groupe a donc décidé d’étendre le dispositif à l’ensemble de ses implantations sur le territoire.

Chez Orange, les étableurs multiplient les projets. Dernier en date, la mise en place de « learning expeditions » où des responsables RH visitent des start-up et espaces de coworking pour observer et apprendre de nouveaux types d’organisations du travail.

 

Source


08/11/2016
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30 Applications iPhone quand on est loin de son bureau #Paperless #iPhone #Pratique #Apps

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30 applis iPhone pratiques pour lorsque l'on s'absente du bureau

Comme nous tous, vous ne quittez jamais votre iPhone. Il trouve donc évidemment sa place dans la poche à chaque moment de la vie .... y compris au travail !

C’est du bureau dont nous allons parler aujourd’hui pour voir qu’il est possible de emmener son bureau directement dans la poche grâce à quelques applications choisies.

Bureautique et pratique, c'est la mise à jour de ce dossier hebdo des apps iPhone qui est mis à jour aujourd'hui : Ou comment s'échapper plus facilement en toute discrétion !

Prendre le contrôle de l'ordinateur à distance

Imaginez, vous n’êtes pas au bureau ou même chez vous et vous vous souvenez, dans le train par exemple ou même de retour à la maison, de ce dossier qu’il ne fallait absolument pas oublier et que vous aviez bien mis de côté. Heureusement, il est bien au chaud dans l'ordinateur du bureau. Grâce aux applis qui suivent, plus de souci, il est possible d'accéder à distance à son ordinateur et de se rendre à la réunion du lendemain comme si de rien n'était :

  • LogMeIn : Probablement la solution la plus aboutie du genre, Ignition met véritablement l'ordinateur de bureau dans l'iPhone ou l'iPad. L'application LogMeIn permet de prendre le contrôle d'un ordinateur à distance en WIFI et même en 3/4G. L'appli intègre un gestionnaire de fichiers et permet l'impression via AirPrint. Destinée aux particuliers, l'appli est accessible aux pros via un abonnement.
  • LogMeIn est disponible ici sur l'App Store gratuitement

Dans le même esprit, voici deux autres applications :

  • Team Viewer : Plus basique que les deux autres, Team Viewer est gratuit et pourra être extrêmement utile pour faire du dépannage à distance par exemple. C’est également un bon moyen de se rendre compte de ce que peut donner le contrôle à distance via iPhone.
  • Team Viewer est disponible ici sur l'App Store

Emporter son navigateur avec soi

Vous consultez plusieurs pages web pour des raisons personnelles ou professionnelles, mais vous devez partir du bureau en pause déjeuner ou pour rentrer chez vous. Sachez que maintenant la plupart des navigateurs se synchronisent entre la version bureau et mobile. Cela permet de retrouver ses favoris, les onglets ouverts, l'historique de navigation, ses mots de passe, et bien plus, sur la versions iOS et la version bureau du même navigateur. Safari intègre également ces fonctionnalités, mais voici d'autres navigateurs tiers qui proposent la même chose.

Stocker en ligne

  • Evernote : L'application du service bien connu qui permet de garder en "mémoire" toutes les choses dont on veut se souvenir que ça soit des notes écrites, des pages web, des photos, et autres documents. On peut tout organiser avec des carnets et des tags, ou bien effectuer une recherche dans ses notes pour rapidement retrouver quelque chose. Le service est utilisable gratuitement, et ça suffit amplement à la majorité des gens, toutefois il existe une abonnement pro qui permet d'aller plus loin et d'obtenir des fonctionnalités supplémentaires.
  • Evernote est disponible ici sur l’App Store
  • Google Keep : L'équivalent d'Evernote avec quand même moins de fonctionnalités, mais ça fonctionne tout de suite si vous avez déjà un compte Google ou sur gmail. Il existe également une version web du service.
  • Google Keep est disponible ici sur l’App Store
  • DropBox : Dans un autre genre, DropBox permet de conserver des fichiers toujours disponibles à distance via un stockage dit "Cloud". Gratuite et simple d’utilisation, l’application est vraiment un indispensable. Grâce à elle vous, plus d’excuse pour dire «j’ai oublié». Tout se synchronise sur PC, Mac ainsi que sur iPhone et iPad. Les 2 premiers Go sont gratuits.
  • DropBox est disponible ici sur l'App Store gratuitement

D'autres applications de stockage dans le nuage :

Communiquer

Travailler c’est avant tout communiquer , qu’il s’agisse de se parler ou même de partager un écran d’ordinateur, il y a bien évidemment des applications pour ça.

  • Slack : Il s'agit d'un excellent service de messagerie pour les équipes et les entreprises qui propose une application iOS, Mac, PC, et même un client web. Il est possible d'avoir autant de groupes que nécessaire afin que les membres d'une équipe puissent communiquer sur un projet, échanger des fichiers, faire des recherches dans une conversation, et bien plus. Bref, un service et une application qui améliorent la productivité et la réactivité d'une équipe. En plus, tout est gratuit.
  • Slack est disponible ici sur l’App Store
  • Skype : Difficile de réaliser un dossier bureautique sans aborder l’application Skype. Qu’il s’agisse de vidéoconférence, de discussion en ligne ou de simple appel, Skype est un excellent moyen de communiquer avec n’importe qui partout dans le monde et gratuitement. Sans être parfaite, la solution est quand même pratique sous réserve d’avoir une bonne connexion WiFi ou 3G/4G pour la vidéo. L’avantage, par rapport à Facetime ou iMessage par exemple, c’est qu'il est possible de contacter un PC, un Mac, un iPhone, un iPad...N’importe quoi du moment que Skype est installé. Mieux encore, c'est gratuit.
  • Skype est disponible ici sur l'App Store
  • Join Me : Cette solution est astucieuse et pour autant pratique pour les conférences à distance. En bref, elle permet, sous réserve d’une mise en place similaire à celle d’une conférence téléphonique, de partager un écran avec tous les participants. Comme un dessin vaut souvent plus que des mots, cette solution pourra faire gagner pas mal de temps en explications fumeuses... En plus elle est gratuite
  • Join Me est disponible ici sur l'App Store gratuitement

Sécuriser ses données

Pas souvent simple se souvenir de mots de passe compliqués d’autant plus que si on veut un peu de sécurité, il vaut mieux se tourner vers des mots de passe un peu compliqués qui comprennent chiffres et lettres, mais également des majuscules. Bref, si une appli pouvait faire le travail à votre place je suis certain que vous ne seriez pas contre.

En voici deux de qualité :

 

Pratique et astucieux

Tâches administratives, numérisation et autres photocopies sont autant de réjouissances qui rythment la vie de bureau. Et si on essayait de mettre un peu de fun dans tout cela et de le faire avec notre smartphone préféré, lorsque l'on n'est pas au travail par exemple !

Du côté du simple scan avec transformation en PDF (mais pas en texte éditable comme Prizmo), il y a l'embarras du choix. On a retenu deux solutions :

  • Scanner Pro : Le must des scanners de documents sur iPhone avec de nombreuses fonctionnalités pratique. Comme tous il fonctionne à partir d'une photo prise avec l'iPhone et permet la transformation en document PDF. On retient des fonctionnalités fort pratiques comme le scan multi-pages (prenez les photos les unes après les autres puis procédez ensuite à la partie détection de contours et traitement), la capacité à scanner des tableaux blancs et des cartes de visite, la détection de contour performante, mais également la très bonne capacité à éliminer le "bruit" (pixels noirs) sur les zones blanches. On note également la possibilité de stocker ses documents directement sur Dropbox (voir avant) et autres systèmes de stockages ainsi que la protection des docs par mot de passe si souhaité.
  • Scanner Pro est disponible ici sur l'App Store au prix de 3,99 euros
  • Genius Scan : Genius Scan est un autre scanner de poche. L’appli permet de photographier et de modifier tableau, paper board ou de documents divers, et de les partager. L’appli est simple d’utilisation et sa fonction de détection des bords s’avèrera pratique. À tester puisqu’elle est gratuite, mais avec de la pub. Il y a aussi une version payante.
  • Genius Scan est disponible ici sur l'App Store gratuitement

Gérer des documents bureautiques

Pour ce dossier, impossible de passer à côté de la suite iWork proposée par Apple d'autant plus qu'elle est maintenant offerte avec les nouvelles machines. Traitement de texte, tableur ou présentation, il y a bien évidemment une app pour cela. Grâce à iCloud, les documents peuvent, en plus, voyager simplement de l'iPhone à l'iPad ou au Mac pour pouvoir travailler partout et retrouver simplement son travail à l'endroit où on l'a laissé.

 

Microsoft a frappé un grand coup en rendant la version mobile de sa suite Office gratuite sur iPhone et iPad. Mises à part quelques obscures fonctions avancées, tout est gratuit et bien pratique pour travailler sur ses fichiers partout ou presque :

Les agendas

Tout professionnel qui se respecte se doit d'avoir un suivi de rendez-vous à jour. Voici nos applications préférées dans le domaine :

Mais aussi ...

Et pour terminer, rappelons que ce type de dossier ne peut être exhaustif. Vous aurez forcément d'autres applications à conseiller parce que vous les appréciez et les pratiquez au quotidien. en indiquant leurs points forts et vos préférences !

 

Source: http://www.iphon.fr/post/Dossier-app-iPhone-applis-bureautique-iPhone


01/11/2016
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6 conseils pour changer de job grâce aux réseaux sociaux

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LE CERCLE/CONSEIL - Utiliser Twitter, LinkedIn ou encore Facebook peut donner un coup de fouet à votre carrière professionnelle. Voici quelques recommandations pour mieux dompter les réseaux sociaux... et trouver un nouvel emploi.

Les réseaux sociaux sont devenus en quelques années incontournables pour échanger, partager ou diffuser de l’information. Utilisés par toutes les tranches d’âges de la société et par toutes les catégories socio-professionnelles, ils sont devenus un outil du quotidien. Réseaux sociaux professionnels ou personnels, ils peuvent servir à booster une carrière professionnelle. Voici comment.  

1. Faites de la veille

Assez traditionnellement, une des premières choses que vous pouvez commencer par faire dans votre recherche, c’est d’utiliser les réseaux sociaux pour faire de la veille sur les entreprises ou les secteurs d’activité qui vous intéressent. Vous abonner aux comptes de ces sociétés ou rentrer en contact avec certains de leurs salariés vous permettra d’être informé des mouvements ou bouleversements importants qui pourront vous être profitables : restructuration, fusion / acquisition, mouvement de personnel et bien évidemment les offres d’emplois. 

Ces informations dont vous disposerez vous permettront d’avoir un coup d’avance sur vos concurrents pour en particulier pouvoir briller plus facilement lors d’un entretien par leurs maîtrises. En effet, vous démontrerez ainsi à votre employeur potentiel que vous le connaissez, que vous vous intéressez à lui et qu’à la différence des autres profils qu’il verra passer sur le même poste, vous n’êtes pas arrivés chez lui par hasard. 

2. Rapprochez-vous des chasseurs de têtes

Vous pouvez entrer en contact  avec des chasseurs de têtes du secteur qui vous intéressent, vous faire connaître auprès d’eux, leurs proposer de les rencontrer pour leurs présenter votre projet professionnel. Cette démarche les intéresse particulièrement, ils sont en permanence à la recherche de profils disponibles, en veille active, et en vous signifiant auprès d’eux, vous leur faites gagner du temps. 

Alors bien sûr l’objectif n’est pas d’écumer les réseaux sociaux pour prendre en contact tous les recruteurs de la place, mais bien de sélectionner ceux qui sont les plus pertinents, cela implique un travail préparatoire de votre part pour évaluer les cabinets qui ont pignon sur rue et que vous êtes susceptible d’intéresser. Dans ce cas, la force des réseaux sociaux est justement de pouvoir vous faciliter l’accès à ces profils grâce aux moteurs de recherche et à la simplicité de mise en relation que vous permettent ces plateformes. 

3. Renseignez-vous sur l'entreprise ciblée auprès d'un salarié

A fortiori, vous pouvez aussi entrer en contact avec des professionnels salariés des entreprises que vous ciblez. Dès lors, votre objectif sera d’utiliser le réseau social comme un tremplin pour une rencontre IRL «in real life» autrement dit dans la vie réelle. Votre enjeu lors de cette rencontre ne sera pas de demander un job à votre contact, mais de lui demander de l’aide pour affiner votre projet professionnel. Vous profiterez de ce rendez-vous pour comprendre comment fonctionne l’entreprise ciblée, son organisation et ainsi améliorer votre connaissance de son contexte. 

Profitez de ce type de rencontre pour demander à votre contact s’il connaît des personnes dans son entreprise ou même dans le secteur d’activité qui pourraient vous aider dans votre démarche pour continuer d’avancer sur votre projet professionnel. Cette démarche peut vous paraître culottée mais testez-là et vous verrez que vous aurez souvent un accueil cordial, si vous faites cela avec humilité, les gens vous accueilleront avec bienveillance. Au fur et à mesure vous gagnerez ainsi en maturité sur votre projet et votre connaissance de milieu professionnel dans lequel vous souhaitez évoluer. Ces rencontres vous donneront accès à certaines opportunités du marché caché, c’est la force de ce modèle. 

4. Prenez position sur des sujets de fonds

Une autre technique redoutable pour votre recherche d’emploi et pour sortir du lot consiste à vous exprimer, à prendre position sur des sujets de fonds qui concernent votre univers professionnel. En fonction de vos ambitions, du job que vous recherchez ou des changements en cours sur votre secteur, rédigez des articles et mettez-les en ligne sur des plateformes qui le permettent facilement et gratuitement. Vous pourrez ainsi utiliser  LinkedIn ou  Medium (ou encore  «Le Cercle Les Echos» ) voire même créer votre propre blog que vous prendrez soin d’alimenter régulièrement avec des articles que vous partagerez sur les réseaux sociaux. 

Lire aussi :
>   Personal branding : publier pour développer son image

Cette démarche prend du temps, mais elle est complémentaire de ce que vous pourrez engager comme par ailleurs. Cela vous donne une crédibilité et une légitimité que ceux qui n'écrivent pas n’ont pas et en plus cela vous permet potentiellement d’être remarqué par un recruteur. Cerise sur le gâteau, parlez-en en entretien et faites-le apparaître sur votre CV et vos profils en ligne, cela vous donnera un bon levier d’échange avec votre interlocuteur sur les sujets sur lesquels vous aurez publié. 

5. N'excluez aucun réseau social

Aujourd’hui plus aucune plateforme n’est à laisser de côté ! Vous pouvez choisir de concentrer vos efforts sur un ou plusieurs réseaux sociaux mais ne vous mettez pas de barrières. On entend souvent qu’il vaut mieux utiliser LinkedIn ou Twitter pour ce qui est du monde professionnel et laisser Facebook et autre Instagram au monde privé, il n’y a bien sûr aucune règle là-dessus. Bien évidemment le réseau au Colibri ou encore la plateforme rachetée par Microsoft vous donneront accès directement à des profils qui sont là explicitement pour leur aspect professionnel, mais on retrouve ces mêmes personnes sur les autres,  Facebook en premier. Le site aux un milliard d’utilisateurs est de plus en plus utilisé par des professionnels de tous secteurs, on voit maintenant fleurir des individus possédant un profil personnel et une page ou un profil professionnel. Les choses ont beaucoup évolué et il n’y a plus forcément de règle établit. 

Lire aussi :
>   Le Petit Prince nous éclaire sur les réseaux sociaux   
>   Comment LinkedIn a écrasé la concurrence

Attention toutefois à développer une démarche claire si vous choisissez une plateforme qui n’est pas « nativement » professionnelle pour votre recherche d’emploi. Vous pouvez très bien avoir déjà un compte personnel sur Facebook sans que cela pose de problème pour l’utiliser en l’état pour le monde professionnel, dans ce cas il faut utiliser le système de gestion des droits sur ce que vous publiez pour gérer la visibilité. Par exemple, en créant des groupes d’amis avec d’un côté vos contacts familiaux et amicaux et de l’autre vos contacts professionnels, ainsi lorsque vous vous exprimerez vous pourrez choisir à quelle sphère de contacts vous voulez que votre message soit diffusé. Mais vous pouvez aussi tout à fait décider de créer un profil professionnel ou une page professionnelle, dans ce cas vous donnerez une visibilité claire et sans erreur possible à vos messages. 

6. Préférez tout de même Twitter

Un petit focus sur le réseau à l’oiseau bleu, toutes les techniques décrites ci-dessus permettent d’augmenter vos chances de trouver le job de vos rêves, mais il existe par ailleurs des dispositifs particuliers qui vont vous permettre d’exploiter autrement cet outil. En effet, depuis de nombreux mois un collectif s’est créé sur Twitter sous le nom de  #i4Emploi , lancé par un groupe d’influenceurs possédant tous des milliers de followers, ce groupement a décidé de partager toutes les demandes de chercheurs d’emplois à l’ensemble de leurs communautés. Il s’agit ici d’une chaîne de solidarité qui oeuvre dans l’ombre pour aider les personnes à trouver ou retrouver un job. Cette initiative n’est sûrement pas la seule à exister mais cela vous donne un aperçu de la puissance de ces solutions pour augmenter vos chances d’évoluer professionnellement. 

Lire aussi : 
>   La puissante pièce secrète de Twitter

Finalement, vous voyez que les réseaux sociaux sont devenus incontournables dans une recherche d’emploi, les chiffres sont là, un recruteur sur deux les utilise dans son activité de chasse. Qu’il s’agisse de sortir du lot, trouver le bon contact, augmenter sa crédibilité, se faire chasser, LinkedIn et consort font partie intégrante des dispositifs à utiliser pour une recherche d’emploi performante. C’est d’ailleurs un élément de transformation digitale du secteur du recrutement extrêmement important, les cabinets de chasse traditionnels sont chahutés par leurs propres clients qui ont de moins en moins besoin d’eux pour trouver les talents qu’ils recherchent régulièrement. Alors ne manquez pas une chance de trouver votre prochain job et utilisez quelques-unes de ces techniques pour accélérer votre démarche. Et croyez-en mon expérience, ce sont les réseaux sociaux qui m’ont permis de changer de job mais ça c’est une autre histoire... 

Stéphane Bourguignon est manager dans un cabinet de conseil et spécialiste du numérique

 

Article original


10/09/2016
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Trois pièges qui bloquent la transformation des entreprises

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Le besoin de transformation ne s’est jamais autant fait sentir dans le monde de l’entreprise. Les grands du numérique, tels qu’Amazon, Facebook, Google et Twitter, ne cessent d’amasser des parts de marché et des profits mais seules quelques entreprises de commerce physique (citons Apple, Nissan et HCL Technologies) ont réussi à évoluer suffisamment vite pour rattraper leurs rivales. Pourquoi les entreprises qui perdent de leur pertinence ont-elles tant de mal à s’en remettre ?

 

 

Pendant des décennies, le succès d’une activité dépendait de trois éléments fondamentaux : des idées innovantes ; une exécution moins coûteuse, plus rapide et de meilleure qualité ; un leadership solide. Les idées étaient cruciales; mais c’était l’exécution qui générait un avantage concurrentiel, même pendant l’ère de l’Internet pour des entreprises comme Toyota, GE et Dell. Elles étaient capables de donner une apparence géniale à des idées médiocres, parce qu’elles étaient bien mises en œuvre. De plus, une culture de l’avarice, de la centralisation, du commandement et du contrôle dominait ce type d’organisations.Mais, à l’ère du numérique, les sources habituelles d’avantage compétitif se tarissent, et ce pour trois raisons. D’abord, les technologies numériques ont réduit et simplifié les cycles d’exécution. Ensuite, avec l’émergence d’organisations spécialisées pouvant gérer la production et la logistique, le service client et après-vente, ainsi que le service informatique, les barrières à l’entrée ont été abaissées dans de nombreuses entreprises. Enfin, les nouvelles technologies ont permis d’accéder à une analyse plus poussée des données clients, une visibilité et une échelle plus grande, obligeant à se détacher de la standardisation pour proposer des offres personnalisées et des expériences uniques aux consommateurs.Par conséquent, la formule gagnante est aujourd’hui : des idées innovantes ; proposer des expériences uniques ; assurer le leadership. Par exemple, l’ascension d’Uber a été propulsée par un concept novateur — utiliser une application mobile pour appeler un chauffeur VTC — et une super expérience client, qui peut facilement régler par carte bancaire et partager en ligne son avis sur le chauffeur. Les dirigeants d’Uber ont un devoir de transparence et encouragent leurs collaborateurs à chercher sans relâche de nouveaux débouchés commerciaux. Il n’est pas étonnant que la valorisation de cette société, fondée il y a sept ans, soit aujourd’hui estimée à environ 60 milliards de dollars (lire aussi la chronique « Comment transformer un business model ? Suivez l’exemple de Lego, Casino ou encore Club Med »).Mais qu’en est-il si vous êtes une entreprise établie plutôt qu’une start-up ? D’après mon expérience chez HCL Technologies, où je menais les efforts de transformation, en matière de changement dans les grandes entreprises, il y a trois pièges à éviter :

1. Le piège de la logique

Les entreprises doivent souvent envisager de faire ce que les autres trouvent impossible à réaliser. Elles ne peuvent changer radicalement si elles limitent leur réflexion à un cadre rationnel. Par exemple, la société Amazon serait-elle arrivée à l’idée des drones de livraison en suivant simplement les sentiers battus ?Les entreprises intelligentes savent identifier les ouvertures, se concentrer sur les points faibles, sur les ruptures et insister sur la création de nouveaux marchés. Leurs dirigeants sont forcés de s’éloigner des processus par étapes, tels que la réduction des coûts, et d’imaginer de grands sauts afin de se mettre sur la voie de la transformation. C’est ce que nous avons accompli chez HCL technologies avec l’idée de « Les employés d’abord, les clients ensuite : comment renverser les règles du management ».

2. Le piège de la continuité

Une comète laisse derrière elle une longue traînée bien longtemps après avoir disparu, mais les astronomes, qui savent que la comète est partie, s’empressent de re-calibrer leur télescope pour en chercher une autre. A contrario, de nombreux dirigeants d’entreprises se rassurent en se rattachant au passé — se contentant d’observer la traînée de la comète déjà partie depuis longtemps — au lieu d’être emballés par l’incertitude de l’avenir.Certains affirment que l’incertitude démotive les employés, provoquant l’accroissement de l’usure et de la corrosion de la valeur marchande. Pourtant, le contraire est aussi vrai : le plus brillant des talents est en général stimulé par les défis et la manière de les relever. Un propriétaire peut faire de beaux discours sur sa splendide maison, mais c’est la fuite dans la salle de bains qui stimule le plombier.HCL Technologies était fière de ses tuyaux percés, pour ainsi dire, et s’est mise à nu quant aux aspects de l’organisation qui ne fonctionnaient pas. Ça a séduit les transformateurs, attirés par le défi que constitue la résolution de gros problèmes. La fréquence d’horloge d’HCL a augmenté, son talent et son énergie ont été mobilisés pour s’occuper des ruptures à venir. Par conséquent, l’entreprise a vu son chiffre d’affaires et sa capitalisation boursière multipliés par sept en l’espace de neuf ans.

3. Le piège du leadership

Si l’avantage concurrentiel tient aujourd’hui à l’interface entre les collaborateurs et les clients, le rôle du dirigeant ne doit plus se limiter à celui du commandant : il doit aussi favoriser l’innovation ascendante (« bottom-up »). L’expérience client prévaut sur tout le reste, ainsi les dirigeants ont le devoir d’inciter leurs collaborateurs à créer et à proposer des expériences uniques en puisant dans leur vision.Howard Schultz et Jeff Bezos, respectivement P-DG de Starbucks et d’Amazon, sont des partisans de ce credo de responsabilisation de l’employé. Leur objectif est d’encourager les collaborateurs à se sentir personnellement responsables de l’expérience client. Voilà comment bien plus de leaders devraient penser.De nos jours, l’impact des technologies numériques sur les business et les modèles de leadership est la problématique majeure à laquelle sont confrontées les entreprises. C’est l’occasion pour les dirigeants d’entreprise de s’affirmer, de compter, et de transformer la menace en opportunité de transformation sans pour autant passer par un changement incrémentiel. N’est-il pas stimulant d’accomplir quelque chose que personne n’a fait avant vous ?

 
Article de Vineet Nayar paru sur HBR France 

 


06/09/2016
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Transformation digitale : se réinventer ou périr ! #Digital #TransfoNum #Innovation

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Face à la montée en puissance des start-up et des GAFAs, la rupture digitale secoue les grands groupes qui doivent faire face à de nouveaux modèles d'affaires redoutables. Aujourd'hui, l'alternative est simple : les entreprises traditionnelles doivent se réinventer ou périr. 

Robotisation des entreprises, développement fulgurant de l’intelligence artificielle, ou encore déploiement généralisé de l’internet des objets, l’économie mondiale accélère sa mue digitale à une vitesse fulgurante, exponentielle même si l’on se réfère aux caractéristiques de la loi de Moore. Internet est devenu la plateforme technologique globale sur laquelle « dansent » des milliers de startups et les GAFAs, ces conglomérats des temps modernes.

Le premier d’entre eux, Alphabet (holding de Google), incarne à lui seul, le changement en cours. Santé, transports, logistique urbaine, télécoms, ou encore assurances, la firme de Moutain View déploie ses algorithmes et se diversifie tous azimuts en capitalisant sur les immenses bases de connaissances acquises depuis son moteur de recherche. Il ne s’agit plus d’une entreprise « cool » qui permet d’accéder à des documents indexés mais bien d'une marque mondiale présente dans notre quotidien et notre intimité. Une société qui opère une expérience utilisateur exceptionnelle, propulsée par ce fameux big data qu’elle maîtrise parfaitement, en générant des rendements croissants, les bits ayant cette vertu magique de rendre nul le coût marginal d’acquisition.

 

Que peuvent/doivent faire les entreprises traditionnelles face à ces acteurs qui s'affranchissent des règles du jeu ? 

SORTIR DU DÉNI ET ENGAGER UN PROJET DE TRANSFORMATION PROFONDE

Changer ou périr, cette injonction binaire, voire simpliste, caractérise pourtant notre époque.

La rupture digitale est là et produit ses effets avec toujours plus d’intensité. Elle secoue nos grands groupes qui doivent faire face à de nouveaux modèles d’affaires redoutables.

Quand Tesla engrange 200.000 commandes de son model 3, à peine 24 heures après l’annonce d’Elon Musk, cela interroge toute une industrie. Quel constructeur automobile pouvait imaginer une telle accélération il y a encore 3 ans ?

On pourrait lister les industries et services les uns après les autres et constater à chaque fois la vitesse et la profondeur de la rupture digitale ; l’ubérisation menace tous les secteurs. Dénier cet état de fait est la première erreur à ne pas commettre.

Il faut donc se réinventer et engager une transformation profonde de l’organisation en activant un triptyque simple qui traverse aujourd’hui toutes les strates de l’entreprise :

  • UX - Définir et mettre en oeuvre une expérience utilisateur exceptionnelle en partant systématiquement des besoins de nos utilisateurs, collaborateurs et sociétaires, le design devenant une discipline à part entière dans notre référentiel métiers
  • Data - Maintenir l’accès aux données et se mettre en capacité de les exploiter à partir d’une politique de la data qui garantisse à la fois les sources d’approvisionnement nécessaires à l’entreprise et l’utilisation éthique qu’en font nos experts et analystes
  • Culture - Engager un projet de transformation par la formation enfin pour installer au coeur de l’entreprise une nouvelle culture de l’innovation, de la collaboration, de l’agilité et de l’intraprenariat mais aussi et surtout de nouvelles compétences et savoirs.
Ces 3 axes doivent être activés simultanément, les données nourrissant la qualité de l'expérience, la culture prévalant sur tout le reste.

 

Article de

Directeur général du groupe MAIF

publié sur LinkedIn 

 


05/09/2016
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Sommes-nous face à un tsunami digital ? #Digital #TransNum

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Nous connaissons une révolution extraordinaire, celle du numérique. Nous pouvons percevoir ces évolutions comme une menace ou au contraire comme une opportunité ! Analyse par Khalid Slimani, fondateur d’Appsnet, application mobile pour TPE et PME.

Notre monde a basculé depuis l’invention du Smartphone. Cet outil a révolutionné notre économie et l’usage du téléphone portable. Aujourd’hui, téléphoner n’est qu’une fonctionnalité parmi des centaines d’autres. En effet, un terrain de jeu extraordinaire vient de s’ouvrir pour tous les professionnels qui ont envie de créer un lien plus fort avec leurs clients. Certaines start-up telles que Uber, Blablacar, ou Tripadvisor ont investi ce terrain avec une réussite incontestable.
Ces réussites digitales démontrent que nous avons réellement changé d’économie. La meilleure preuve : la capitalisation du groupe Accor, entreprise multinationale possédant des hôtels, est de 11 milliards d’euros ; Tripadvisor, service de mise en relation, est valorisé à 11 milliards d’euros également !


Mais quel lien faire entre une multinationale, une TPE, une PME, un commerce de proximité et un artisan ? C’est que le consommateur d’Uber ou encore de Tripadvisor a un Smartphone en poche. Ce client est le même que celui du commerçant ou de la TPE ! Et il n’est pas impossible pour les petites structures, aujourd’hui, d’investir le Smartphone, objet de toutes les convoitises. En 2015, on compte, en France, plus de 30 millions de Smartphones et 12 millions de tablettes. Et des statistiques démontrent que ce nombre ne fera qu’évoluer dans les prochaines années de manière constante et significative.
 
Le digital contribue à renforcer l’image de marque

La question est : comment les TPE et les PME peuvent s’inscrire dans cette évolution ?

 

D’abord, les professionnels doivent prendre conscience que le comportement des
consommateurs (mobinautes) a changé : nomades et exigeants, ils ne veulent plus attendre et désirent des offres simples et immédiates. Les mobinautes regardent au moins 195 fois par jour leur Smartphone d’après une récente étude réalisée par Nokia. Beaucoup d’entreprises disposent d’un site Web mais pas encore d’application mobile. Cela serait pour eux une opportunité de moderniser leur image et de montrer leur dynamisme, comme il y a toujours une prime au premier, ils se distingueraient par rapport à leurs concurrents.
Les tendances montrent qu’aujourd’hui les attentes de ces consommateurs sont nombreuses :

 

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25/10/2015
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Service client via les réseaux sociaux: La grande désillusion ? #ServiceClient #SocialMedia

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En France, l’utilisation des réseaux sociaux comme canal de contact pour la relation clients ne décolle pas.

Les Français contactent de moins en moins les marques via les réseaux sociaux

9%, c’est un chiffre qui s’annonce comme une claque pour de nombreuses entreprises qui ont investi dans le domaine des réseaux sociaux pour leur communication et leur effort marketing…

En effet, les résultats de l’étude annuelle Observatoire des Services Clients 2015 — Viséo Conseil/BVA qui viennent d’être publiés étonnent et détonnent par rapport aux espérances fondées dans les réseaux sociaux comme nouveaux canaux en vogue de contact privilégié avec les marques.

Au cours des 12 derniers mois, seuls 9% des Français ont contacté un service de relation client via les réseaux sociaux Facebook et Twitter (22% chez les 18–24 ans et 16% chez les 25–34 ans).

Pire : en 4 ans, ce pourcentage chute de 3%.

En 2012, 12% des Français ont privilégié le contact avec une marque via les réseaux sociaux pour une approche relations clients.

Ce chiffrage est faible voire ridicule par rapport aux autres créneaux de contacts existants et plébiscités, le téléphone et le face-à-face en tête!

C’est bien simple, le mode de contact via les réseaux sociaux est en queue de classement… Juste devant le courrier classique! Quelle déconvenue!

La survalorisation de l’utilisation des réseaux sociaux comme outil de médiation pour résoudre les problèmes et questions des clients

On entend souvent ce refrain dans la bouche du quidam : «Si tu n’es pas content d’une marque ou d’un produit, dis-leur sur leur page Facebook et ils s’occuperont enfin de toi!».

 

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25/10/2015
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Culture digitale: on n’apprend pas à faire du vélo avec des quiz et des vidéos #Digital #TransNum

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Marc de Fouchécour

La transformation digitale de l’entreprise passe par celle de ses collaborateurs et managers qui sont appelés à devenir moteurs de cette transformation.

Ils ont davantage besoin d’accompagnement pour comprendre les impacts du digital dans leur métier et leurs modes de travail, que de formation à des méthodes ou à des outils. C’est pourtant par l’usage concret de ces outils dans le cadre de leur travail quotidien qu’ils acquerront une démarche digitale.

Notre approche de la formation à la culture digitale s’appuie sur six convictions :

 

1. Il n’y a pas de maturité digitale

L’objectif pour chacun n’est pas la “maturité” digitale qui suppose une maîtrise d’outils ou de modèles, mais le lâcher prise qui permet la découverte, les essais/erreurs qui consolident l’expérience, la curiosité qui motive le changement. Retrouver une part d’enfance, jouer avec les technologies et ce qu’elles permettent, est un ingrédient essentiel de toute formation.

« La capacité à percevoir ou à penser différemment est plus importante que la connaissance acquise » écrivait David Bohm, et il sera plus difficile d’abandonner les habitudes anciennes que d’acquérir les nouvelles approches.

L’objectif n’est pas tant d’apprendre de nouvelles choses, que de basculer vers de nouveaux modes de relations et de travail.

 

2.Le digital est un vécu personnel, et le changement est volontaire

“C’est n’est pas que les gens n’aiment pas changer, c’est que les gens n’aiment pas qu’on les change” disait Richard Teerlink, patron de Harley Davidson.

Il faut révéler les motivations internes des collaborateurs à changer (curiosité, employabilité, conviction d’une amélioration dans son travail,…) car les motivations externes n’auront pas d’effet durable. De même, connaître les craintes et les freins permettra d’aplanir le chemin.

 

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22/10/2015
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