L'Innovation et l'Humain au coeur de la Transformation Digitale

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Travail/TiersLieux/Télétravail


Le télétravail pour une meilleure Expérience Employé #Télétravail #Travailflexible #Engagement

Self employed businessman working from home

 

 

En 2016 seule 2 % de la population française pratique le travail à distance ou « home office ». Pourtant, les arguments en faveur du télétravail ne manquent pas. État des lieux.

 

Maud est Global Senior Brand Manager chez Danone à Amsterdam, elle pratique le télétravail depuis 6 ans. « En Hollande le télétravail est très bien vu et même assez normal lorsque l’on a un poste de cadre, d’ailleurs quasiment tout le monde le pratique. »

En 1973, uningénieur télécomm’ ayant fait ses armes à la NASA invente la possibilité de travailler à distance en utilisant la télématique (télécommunications et l’informatique). Jack Nilles ne pense pas faire de la science fiction mais croit plutôt avoir créé le mode de travail de demain.

Pourtant, en 2016 seule 2 % de la population française télétravaille même si ce mode de travail nomade se développe plus dans le tertiaire où le pourcentage grimpe à 8 %.

Pourtant, si nous levions les principaux freins, le home office offre une possibilité de révolutionner l’organisation des entreprises. C’est une conviction que j’ai : le télétravail est une solution facile à mettre en place, pour les entreprises cherchant des moyens d’améliorer la qualité de vie de leurs employés, de les rendre plus heureux ou encore d’améliorer l’expérience employé. Et c’est aussi une manière de rendre l’entreprise plus efficace. Chez MyJob.Company, après une phase test de 6 mois avec Célia – notre responsable marketing – nous avons généralisé le travail à distance, aujourd’hui adopté par 70 % de nos salariés.

Télétravail : s’inspirer de nos voisins européens

Le home office étant plus développé en Scandinavie et dans les pays anglosaxons, nous avons recueillis les témoignages de Maud et Manuella, deux Françaises respectivement expatriées en Hollande et en Angleterre depuis de nombreuses années.

 

Manuella est responsable marketing régional dans une ONG en Angleterre :

« J’ai pratiqué le télétravail pendant deux ans pour mon ancien employeur (RedBee Media, maintenant Ericsson). A l’époque j’étais rédactrice de programmes télé et comme je déménageais sur Cambridge alors que mon entreprise était basée à Londres, ils m’ont offert un contrat à distance, ce qui était déjà monnaie courante dans cette entreprise. A ce poste, certains de mes collègues faisaient le même travail tout en étant basés en Belgique, en France ou aux Pays-Bas. Dans mon entreprise actuelle je pratique le télétravail de temps à autre, en accord avec ma hiérarchie. En moyenne, 1 jour toutes les 2 semaines environ. »

En Angleterre, le télétravail est déjà largement répandu :

« Chez mon ancien employeur tous les membres de mon équipe pratiquaient le travail à distance 1 à 2 jours par semaine, et certains comme moi par la suite en permanent. Dans mon entreprise actuelle ce n’est pas le cas de tout le monde mais je dirais 30 % à 40 % des effectifs le pratiquent régulièrement. »

La confiance et la culture, une fable organisationnelle

Mais la généralisation du télétravail se heurte, en France, à de nombreuses idées préconçues de la part du management. D’une part sur la possibilité de surveiller les tâches réellement effectuées (comme si un salarié qui a envie de se tourner les pouces ne pouvait pas le faire à son bureau !). D’autre part sur les horaires réellement effectués dans une mentalité française très présentéiste. Il faut faire des heures, montrer qu’on reste longtemps au bureau. En France, rester tard au travail signifie encore qu’on travaille beaucoup, qu’on est investi. Ce qui est précisément l’inverse, me semble-t-il.

 

Finalement, le véritable problème est donc celui de la confiance que les managers ont dans leurs collaborateurs. Ou plutôt le manque de confiance.

Une expérience vécue par Célia dans son précédent job “Dans ma précédente entreprise, le top management était contre le télétravail, par manque de confiance dans notre capacité à être responsable et autonome…donc ça se faisait mais chaque salarié était dépendant du bon vouloir de son manager. Au final, le fait que ce ne soit pas encadré par l’entreprise créait un sentiment d’injustice et des tensions entre les salariés.

Le second problème est d’ordre culturel : il implique de passer d’une vision présentéiste à une vision ‘productiviste’. Qu’importe le temps passé : en définitive l’important c’est que la mission confiée soit réalisée, non ? Et si un employé peut le faire deux fois plus vite de chez lui, pourquoi l’en priver ?

Une levée de boucliers des non pratiquants

Les réticences à une mise en place plus large du télétravail viennent également des collègues ‘non pratiquants’ pour qui le bureau remplit une fonction sociale importante. Ils sont inquiets de perdre une bonne ambiance de travail ou que l’organisation soit chamboulée et qu’il devienne plus difficile de travailler en équipe.

 

En fait, il s’agit de pratiquer le home office d’une manière mesurée, ce que Maud confirme : « Je pense que le télétravail à outrance n’est pas bon pour la communication au sein de l’équipe et l’ambiance au bureau. Donc une fois de temps en temps et quand nécessaire, ca suffit ! »

C’est ainsi que le conçoit également Manuella : « C’est à moi de décider quand j’ai besoin de travailler de chez moi en faisant en sorte que ca ne dérange pas le reste de l’équipe ».

De la même manière, les collègues ne pratiquant pas le travail à domicile s’interrogent sur la ‘prétendue’ efficacité permise par le télétravail. C’est quelque chose qu’on entend souvent quand on aborde le sujet du travail à distance : « je sais pas comment tu fais, moi quand je travaille de la maison j’arrive pas à me concentrer. »

Maud reste perplexe face à une remarque jamais entendue en Hollande : « Je ne comprends pas trop  car pour moi la pression et les délivrables restent les mêmes, que je sois au bureau ou à la maison! ».

Manuella affirme même « Pour moi c’est le contraire. Si on le fait pour une raison précise (comme des tâches que je trouve plus faciles à faire à la maison) je pense qu’on arrive mieux à se concentrer. »

Alors, bien sûr, le télétravail doit se faire sur la base du volontariat, car toutes les conditions ne sont pas réunies pour tous. En Angleterre, l’organisation matérielle d’un home office est même sérieusement encadrée :

« En Angleterre si tu travailles à la maison, l’entreprise doit s’assurer que ton cadre de travail est conforme aux normes de santé et de sécurité. Du coup tu reçois la visite d’un collègue RH ou responsable health & safety pour checker que tu as un bureau, assez de place pour travailler, une bonne luminosité, une bonne hygiène de travail, une bonne chaise, une bonne distance visuelle etc.  Mon ancien employeur me faisait des visites régulières et m’a même fourni un bureau et une chaise adéquats. »

Le télétravail pour une meilleure qualité de vie

Le télétravail, qu’il soit récurrent ou occasionnel permet de libérer les employés d’une (partie) des temps de trajets et donc de la fatigue et du stress inhérents. Il offre également une plus grande flexibilité d’organisation pour les salariés, limitant les conflits entre vie perso et vie pro. Les ‘pratiquants’ sont unanimes : le télétravail améliore la qualité de vie.

 

Maud confirme « Le télétravail permet plus de flexibilité. Par exemple, si les enfants sont malades, si j’ai un RDV chez le médecin, si il y a une panne de train, si j’attends une livraison etc… Dans l’organisation au quotidien, c’est important. »

Même constat pour Célia “Je gagne 1h30 de transport, ce qui n’est quand même pas négligeable ! Et puis, cela me permet de caler des rendez-vous comme le plombier ou le relevé de compteur EDF qui prend 10 minutes mais pour lequel il faudrait – sans télétravail – poser ½ journée. Quand je travaille de chez moi, j’en profite aussi pour aller courir entre midi et deux.”

Ainsi, selon une étude BVA 75 % des télétravailleurs estiment que le télétravail a des conséquences positives sur leur qualité de vie.*

Le télétravail pour une meilleure Expérience Employé

Gain de temps, gain de fatigue, gain de stress, meilleure prise en compte de la vie de famille le télétravail permet également d’améliorer l’Expérience Employé des collaborateurs. D’une part en leur permettant d’organiser leur temps de travail en totale (et réelle) autonomie. Ainsi, pour 44 % des télétravailleurs, la motivation première est l’aspiration à plus d’autonomie au travail.* D’autre part, en permettant une expérience de travail plus satisfaisante car les télétravailleurs se sentent plus efficaces.

 

« Clairement le télétravail permet d’être plus efficace notamment si je dois me concentrer sur une présentation à préparer » confie Maud.

Une position confirmée par Manuella « Ca me permet de mieux gérer le stress, de me concentrer sur des tâches bien précises comme la rédaction d’articles, l’analyse de données ou la préparation de présentations pour lesquelles j’ai besoin de me concentrer. Je travaille aussi plus vite quand je suis a la maison parce que je suis moins distraite par les messages et conversations intempestifs. ».

C’est ainsi que 63 % des télétravailleurs estiment que le ce mode d’organisation permet d’améliorer les conditions de travail*.

Le télétravail source d’économies et de performance

Avec des équipes plus fraîches et disposes, les bénéfices sont également à noter du côté de l’employeur puisqu’il permet d’améliorer la productivité des employés tout en les responsabilisant.

 

« Pour moi c’est du gagnant gagnant à 100%. Plus on responsabilise l’employé et on le laisse gérer son temps comme il l’entend, plus il se sent investi et loyal envers son entreprise » constate Maud.

Même son de cloche pour Célia “Pour moi, le télétravail offre trois types de bénéfices à mon entreprise : le premier est clairement l’efficacité. Je suis responsable marketing, je fais donc l’interface entre les différents services de la startup, très concrètement on me pose des questions toute la journée. Quand j’ai besoin de travailler sur un dossier important sur lequel j’ai besoin de concentration, le télétravail est idéal car je peux me mettre dans une bulle et travailler plus efficacement.

Le deuxième bénéfice pour l’entreprise est le temps de travail : mes journées de télétravail sont plus longues car l’heure et demie gagnée en transport est directement transformée en travail pour mon entreprise.

Enfin, le dernier bénéfice, et probablement le plus important concerne la relation employeur-employé : une entreprise qui me laisse faire du télétravail envoie un message positif de confiance. C’est très motivant et crée une relation saine de confiance mutuelle !”

C’est également un moyen de repenser les modes d’organisation de l’entreprise :

« Le télétravail oblige les équipes à apprendre à travailler en mode virtuel plus aisément (téléconférences, rédaction de documents partagés, etc.). Cela permet donc de développer de nouvelles compétences précieuses dans le monde dans lequel on vit.

Par contre l’entreprise doit offrir ces outils de travail au préalable et s’assurer de leur bon fonctionnement afin de bénéficier au maximum des avantages du télétravail. Mon ancien employeur contribuait par exemple en m’installant une connexion plus performante et plus sécurisée afin que je puisse accéder sans interruption et à tout moment à nos bases de données internes très consommatrices de bande passante. »

Même si la révolution se fait en douceur dans l’Hexagone, le télétravail s’inscrit dans une conception nouvelle du travail permettant de trouver un juste équilibre en vie professionnelle et vie personnelle et de redéfinir la charge de travail en termes de réalisations et non de temps passé. Une approche qui devrait séduire les générations X et Y, à n’en pas douter.

 

* Etude BVA sur le télétravail :http://www.bva.fr/fr/sondages/le_teletravail_un_choix_de_vie_assume.html

Source de l'article


21/11/2016
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Le qualité du Wi-Fi est une priorité pour les travailleurs nomades #Travail #Mobilité #WiFi

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Plus fort que le sexe, l’alcool ou le chocolat, le Wi-Fi arrive en tête des priorités des travailleurs nomades ! La connectivité détermine leur choix d’hôtels ou de compagnies aériennes – et constitue désormais un point-clé pour leurs employeurs.

Basée sur les réponses de plus de 1700 professionnels mobiles du monde entier sur leurs habitudes et leurs préférences en matière de connectivité, une nouvelle étude commanditée par iPass Inc. souligne l’influence toujours croissante du Wi-Fi sur leur quotidien.

Au premier rang des priorités pour 40% des professionnels mobiles

Les résultats de l’étude sont éloquents :

  • 40% des participants interrogés placent le Wi-Fi au premier rang de leurs priorités dans la vie quotidienne, avant la sexualité (37 %), le chocolat (14 %) et l’alcool (9 %),
  • 75% des participants déclarent que le Wi-Fi a amélioré leur qualité de vie,
  • 63% des personnes interrogées préfèrent utiliser les points d’accès Wi-Fi plutôt que les services de données mobiles,
  • 75% des participants déclarent attacher plus d’importance au volume de données qu’au temps de communication dans le choix de leur forfait mobile.

« Les professionnels mobiles (…) tiennent à rester connectés en toutes circonstances : à leur domicile, durant leurs déplacements d’une réunion client à une autre, à l’hôtel et même en avion », explique Patricia Hume, directrice commerciale d’iPass. « Avec une population mondiale de travailleurs mobiles dépassant largement le milliard d’individus, les employeurs doivent donc se tenir prêts à satisfaire la demande de leurs employés en leur procurant la connectivité à laquelle ils aspirent. »

Le Wi-Fi a une incidence sur les choix des voyageurs professionnels

Pour des travailleurs mobiles soucieux d’éviter des frais de données et d’itinérance quelquefois exorbitants, le Wi-Fi fait désormais partie du voyage – au point d’avoir une incidence sur leurs choix en matière d’hôtels, de compagnies aériennes, etc.

  • 72 % des participants on déjà pris l’expérience Wi-Fi en considération lors du choix d’un hôtel, et 21 % déclarent appliquer systématiquement ce critère.
  • 35 % des personnes interrogées déclarent avoir déjà tenu compte de l’expérience Wi-Fi pour choisir une compagnie aérienne.
  • 72 % des participants utilisent l’accès Wi-Fi gratuit lorsqu’il est disponible dans les aéroports.
  • 73 % des participants n’ont jamais utilisé d’accès Wi-Fi payant dans un aéroport à des fins professionnelles, un pourcentage qui grimpe à 78% pour les utilisations personnelles.

La conclusion est claire : le temps où le Wi-Fi constituait un « plus appréciable » est révolu – c’est aujourd’hui devenu un must-have pour les hôtels, et bientôt pour les compagnies d’aviation.

La sécurité, principal obstacle à l’utilisation du Wi-Fi gratuit

L’étude d’iPass montre également que la sécurité mobile constitue le principal obstacle à l’utilisation du Wi-Fi gratuit, et illustre les difficultés auxquelles se heurtent les entreprises cherchant à mettre en place une stratégie de sécurité mobile. Ainsi, 66 % des travailleurs mobiles se disent préoccupés par la sécurité des données lorsqu’ils utilisent un point d’accès Wi-Fi gratuit, et seule une entreprise sur deux autorise ses travailleurs mobiles à utiliser un appareil personnel pour accéder aux données/systèmes de l’entreprise via un point d’accès Wi-Fi public.

Méthodologie : étude réalisée du 12 et le 31 août 2016 sur un échantillon d’employés mobiles, dont 60 % d’Amérique du Nord, et 40 % de différents pays européens.

 

Source


17/11/2016
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4 tendances pour innover sur son lieu de travail #Innovation #Flexibilité #Workplace #Travail

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L’expérience de travail est aujourd’hui essentielle pour les entreprises. Tout d’abord pour créer un climat favorable à la productivité et à l’innovation collaborative et inter-équipes, mais aussi pour amplifier l’attrait de l’organisation vis-à-vis des jeunes talents.

Quels sont les bons élèves de l’expérience collaborateur ? Nous avons sélectionné 6 organisations qui ont repensé leur lieu de travail.

1/ Quand le lieu de travail devient un musée de la transformation digitale

Orange Gardens, c’est un écosystème ouvert qui regroupe toutes les divisions Orange – chercheurs, ingénieurs, développeurs, graphistes, marketeurs, sociologues et juristes et divers experts – auparavant disséminées aux quatre coins de la région parisienne. L’objectif étant de décloisonner les disciplines et de faciliter la collaboration pour une gestion de projet plus efficace et flexible – en somme, « utiliser le lieu comme un accélérateur de la transformation du groupe » selon Marie-Noëlle Jego-Lavaissière, directrice Marketing et Technologies d’Orange. Dans le cadre de cette démarche collaborative, les locaux sont également équipés d’un showroom pour faire découvrir aux clients et partenaires les savoir-faire de l’entreprise, et co-créer de nouveaux produits ou services.

En outre, les salariés disposent d’un « Fab Lab » pour s’atteler à leurs projets personnels – une initiative qui peut rappeler l’esprit Google.

 

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Plus d’informations ici.

 2/ Le Sans-bureau-fixe à la mode 

Les flex-offices, ou la culture des bureaux volants : récemment transférés à Pantin, les nouveaux locaux de BETC n’ont rien à envier à ceux de Google et autres GAFA. Sources de créativité, ces bureaux mobiles favorisent les échanges, la collaboration et l’innovation. Les différents services se rencontrent au détour d’un couloir, et font de ce lieu innovant un environnement propice à la co-création. En bref, des bâtiments pensés sous le signe de l’ouverture.

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Square, l’entreprise qui commercialise de petits lecteurs de carte bancaire, applique aussi dans ses locaux la pratique du flex-office. Mais ceux-ci réservent bien d’autres surprises, avec, entre autres, une organisation spatiale inspirée de l’organisation urbaine. « Lorsque je pense à la ville, je pense shopping, café, parcs, promenades. Nous souhaitions créer la même variété au bureau » explique Chris Gorman, Head of Office Experience chez Square. En plus d’un café situé au sein même des bureaux, Square accueille régulièrement pop-up stores et marchands artisanaux dans ses locaux.

Une manière de faire de l’espace de travail un espace de cohabitation où les gens se rencontrent et partagent facilement : les équipes se forment et se dispersent au fil des projets.

 

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3/ Un bureau dans lequel on sent aussi bien qu’à la maison

Selon des recherches scientifiques, l’ajout de plantes et de verdure dans l’environnement de travail pourrait faire croître la productivité de 15% ! Outre le gain de productivité qu’elles procurent, les plantes permettraient de réduire le taux de substances chimiques émises dans l’air par le matériel professionnel, les meubles, … De sérieux arguments qui vous aideront peut-être à convaincre votre boss d’inviter la verdure sur votre lieu de travail !

Google a par exemple incorporé un oasis de verdure dans ses locaux de Tel Aviv, un cadre de travail qui laisse rêveur…

 

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Sur un autre registre, Mars Petcare et Nestlé autorisent leurs employés à inviter leurs animaux sur leur lieu de travail. Un investissement rentable quand on sait que la présence d’animaux au travail réduit significativement le taux de stress des employéset favorise les échanges entre collaborateurs, ainsi que la cohésion d’équipe.

 

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Ce qu’on en retient : un cadre de travail agréable, c’est du tout bon pour l’employé comme pour l’employeur !

4/ Travailler debout

L’entreprise de demain sait aussi prendre soin de ses salariés, et cela se traduit par l’attention portée à leur santé.

Le bureau d’architectes RAAAF a repensé la manière de travailler en s’attachant aux positions de travail – la chaise n’étant pas tout à fait l’alliée du bien-être. Le design de ces bureaux revisite notre rapport au travail en se recentrant sur la santé et privilégie la position debout ou semi-assise.

 

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Source


10/11/2016
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Le digital n’est pas une option, c’est une nécessité #Digital #TransNum

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Engie est deuxième du classement eCAC40. Comment le numérique touche un groupe industriel tel que le vôtre ?

Gérard Mestrallet : Le monde de l’énergie vit un profond bouleversement aujourd’hui. Nos métiers et nos business models sont en pleine transformation avec deux révolutions : numérique et technologique (liées notamment au développement des énergies renouvelables et des systèmes de stockage). Le numérique est un levier majeur pour améliorer l’efficacité énergétique et réduire les émissions de gaz à effet de serre. Aujourd’hui, les clients sont plus exigeants en matière de réduction des émissions de CO2 et sont attentifs à leur empreinte environnementale. Grâce au digital, nous donnons la possibilité aux clients de maîtriser et réduire leur consommation d’énergie par le biais d’offres et de services personnalisés 100% Web (Engie a récemment rénové son site Internet et ses espaces clients en ligne,). Une des innovations est le développement des thermostats et compteurs intelligents (Gazpar, pour le gaz) qui permettent de piloter à distance son chauffage et d’adapter sa consommation.


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13/10/2015
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Quel est le meilleur moyen de transport pour aller au travail, selon la science ?

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Dans les grandes villes, certains travailleurs peuvent passer plus de deux heures par jours dans les transports, et cela influence leur bien-être physique et mental.

A la longue, « les trajets domicile-travail affectent votre santé physique, mentale, et la manière dont vous appréhendez les autres ». Présenté comme cela  par le site Gizmodo , ce que les anglophones appellent le « commuting » (le trajet domicile-travail et son retour) doit être pris au sérieux. Comme tout bon sujet sérieux, la science s’en est emparée. Passons en revue ses conclusions.

Un Francilien passe en moyenne 68 minutes dans les transports chaque jour ; contre 38 minutes en province,  selon l’Insee . Aux Etats-Unis, si l’employé moyen y passe  environ une heure , Gizmodo affirme qu’il n’est pas rare que certains y restent jusqu’à trois heures. Et s’il s’agit d’heures passées assis dans la voiture, ça se complique...


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04/10/2015
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